Billet

Le deux octobre dernier, Michelle et moi nous avons livré notre autocaravane de classe B, Montecarlo, à son nouveau propriétaire. Conséquemment, techniquement parlant, nous ne sommes plus caravaniers, ni même nomades puisque nous avons loué un appartement dans lequel nous avons emménagés le jour précédent la livraison. Celui-ci nous servira de camp de base pour les prochaines semaines. N’ayez crainte, il nous tarde déjà de reprendre la route. 

Dimanche prochain, je vous apporterai plus de détails sur ce qui nous attend. Et oui, le suspense touche à sa fin. J’espère simplement que vous trouverez que l’attente en valait le coup. D’ici là, je vais continuer à emménager notre nouveau nid. Faut dire que Michelle est ravie de tout ce brouhaha. Nous qui n’avions plus de meubles depuis longtemps, elle se fait une joie de courir les magasins pour régler ce qui lui apparait être un doux problème.

De mon côté, j’aurais besoin de plus de vingt-quatre heures dans les journées, tellement j’ai peine à m’acquitter de toutes mes tâches. Finaliser la mise en place du projet qui s’en vient, transporter les boites entassées depuis quelques années dans une remise de type garde-meubles, gérer de nombreux appels téléphoniques et courriels, réviser les textes du prochain numéro du magazine et tutti frutti.

Aussi, vous me pardonnerez le peu de mots de ce billet qui tranche avec ce à quoi je vous ai habitués durant les années. La semaine prochaine, vous en saurez plus, beaucoup plus, je m’y engage. Dans quelques minutes, nous serons déjà rendus à dimanche et je dois absolument aller dormir quelques heures avant de me rendre une fois de plus à la remise.

Merci de votre compréhension,

Paul